Un Spilliaert inédit et autres belgeries
Acquise auprès de l’artiste et parvenue par descendance jusqu’à nous, l’œuvre apparaît pour la première fois sur le marché. Elle sera vendue le 4 avril chez Christie’s à Paris.


Les œuvres d’art sont les cadeaux des morts », disait en 2020 la journaliste française Eva Bester (huit ans d’antenne sur France Inter avec l’émission Remède à la mélancolie) au sujet de Léon Spilliaert (1881-1946) à qui elle consacrait un livre, paru aux éditions Autrement. De Bruxelles à Ostende, la reine du spleen y marchait dans les pas du peintre belge – son « frère de noir –, émerveillée qu’on puisse tirer autant de chefs-d’œuvre d’un mal de vivre permanent. « Spilliaert, écrit-elle, est un alchimiste : de la boue et la sombreur, il fait du sublime. »

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