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Delhaize: pourquoi les syndicats se battent comme des lions

Les représentants des travailleurs s’opposent farouchement au plan de franchisation des 128 supermarchés intégrés pour des raisons internes mais aussi externes à l’entreprise. L’enjeu est décisif pour le commerce… et bien au-delà.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 4 min

Cela fait déjà trois semaines que les clients fidèles des supermarchés Delhaize en gestion propre sont presque totalement privés de leur magasin favori (du moins à Bruxelles et en Wallonie). C’est que les travailleurs de ces succursales sont déterminés à échapper à un changement d’employeur, à savoir des franchisés indépendants. Si leurs syndicats les appuient tout particulièrement, c’est parce que ce conflit social s’avère crucial pour eux. Et ce, pour des raisons internes mais aussi externes au Lion.

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28 Commentaires

  • Posté par cordier laurent, vendredi 7 avril 2023, 22:31

    La manipulation et l'utilisation des foules pour poursuivre un but personnel. Une technique redoutable largement éprouvée dans le monde politique. Ce qui interpelle, c'est que les syndicats quoi qu'ils en disent ne se préoccupent que très peu de l'avenir de ceux qu'ils disent défendre. Le coupable sera toujours l'employeur qu'ils auront contraint de fermer boutique. N'y a-t-il vraiment pas moyen de faire autrement que de prendre les reavailleurs et clients en otages ???

  • Posté par Mauer Marc, jeudi 30 mars 2023, 7:22

    Ils se battent pour leur survie, alors que le combat est perdu. La disparition d’entreprises énormes dans le cadre de la distribution est un modèle dépassé, et s’ils insistent encore un peu, ils pourraient mettre l’entreprise en difficultés. Que de mensonges sur les différentes communications évoquant les différences salariales entre personnel dès intégrés et celui des franchisés. Que les plus râleurs ne soient pas surpris que les repreneurs les aient à l’œil et cherchent à s’en débarrasser au plus vite.

  • Posté par Vanloo , mercredi 29 mars 2023, 19:02

    Un combat d'arrière garde, le monde n'est pas figé à une époque précise. Les chasubles de couleurs, les drapeaux et les pétard à l'heure du digital cela fait assez ringard et très années 1960-1970

  • Posté par dams jean-marie, mercredi 29 mars 2023, 11:36

    A l'image des politiciens surtout francophones qui font du bruit pour parvenir à leur réélection en profitant d'un mouvement social les syndicats font de même pour garder leur influence ! Dans les deux cas ils s'en foutent des gens qu'ils représentent , seul leur existence importe! Un si petit pays où d’un côté le mot « travail » n’a pas la même signification que dans l’autre partie.

  • Posté par dams jean-marie, mercredi 29 mars 2023, 11:34

    A l'image des politiciens surtout francophones qui font du bruit pour parvenir à leur réélection en profitant d'un mouvement social les syndicats font de même pour garder leur influence ! Dans les deux cas ils s'en foutent des gens qu'ils représentent , seul leur existence importe! Un si petit pays où d’un côté le mot « travail » n’a pas la même signification que dans l’autre partie.

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