Décrochage scolaire: «Il faut stopper l’hémorragie»


Expert en prévention contre le décrochage scolaire et social depuis plus de vingt ans, le Bruxellois Nader Rekik répond à nos questions.
Quel constat dressez-vous aujourd’hui quant au décrochage scolaire ?
On avait l’habitude d’avoir des jeunes de 14, 15, 16 ou 17 ans qui décrochaient par démotivation, manque de confiance en soi ou d’intérêt pour l’école mais aujourd’hui on se retrouve avec des enfants qui décrochent et il faut stopper cette hémorragie. Pas un jour sans qu’un papa, une maman ou le secteur associatif ne nous sollicitent pour raccrocher les gamins de 8/10 ans ou des ados à l’école.
Pourquoi ?

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Avec le Pacte d'excellence, fini tous ces problèmes : les enfants ne peuvent plus être arrêtés avant la fin du tronc commun. Les enfants de primaires ne devraient pas avoir d'écran à l'école.