Accueil Société

Marie-Thérèse Novak, une vie sans abri et sans répit

10h08, un mercredi de février. Marie-Thérèse Novak, bras croisés, patiente avec son café sur une table du centre d’accueil pour sans-abris à Anderlecht ; un endroit où, une fois par semaine, les femmes à la rue peuvent venir se laver pour la somme symbolique de 1 euro.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 4 min

En Belgique, il n’existe pas de données officielles quant au nombre de femmes sans domicile fixe. Toutefois, depuis une vingtaine d’années, selon l’ASBL Diogène, leur nombre a augmenté : en 1995, elles représentaient 11 % des dossiers que traitaient l’association contre 26 % en 2018. Bruss’Help, l’organisme régional qui coordonne les structures d’accueil pour les sans-abris, compte chaque année les personnes vivant dans la rue. En Belgique, les femmes qui vivent sans abri représente l’équivalent de la population d’un petit village.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Société

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs