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Appel à une trêve: la Russie exclut d’arrêter son «opération militaire» en Ukraine

Le Kremlin a exclu vendredi de stopper son offensive contre l’Ukraine malgré l’appel à la trêve de son principal allié, le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko.

Temps de lecture: 1 min

Le Kremlin a exclu vendredi de stopper son offensive contre l’Ukraine malgré l’appel à la trêve de son principal allié, le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko.

« Au sujet de l’Ukraine, rien ne change : l’opération militaire spéciale se poursuit, puisque c’est le seul moyen d’atteindre les objectifs fixés par notre pays aujourd’hui », a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

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2 Commentaires

  • Posté par Dupont Albert, vendredi 31 mars 2023, 13:30

    "Au sujet de l’Ukraine, rien ne change : l’opération militaire spéciale se poursuit, puisque c’est le seul moyen d’atteindre les objectifs fixés par notre pays aujourd’hui". Tout l'art du vide de V Putin: il n'a JAMAIS fixé d'objectifs réels, pour se laisser sans doute la possibilité d'une "victoire" à géométrie ajustable. Je mets au défi ses séides habituels de me contredire. En tout cas, il démontre bien que seul le soutien à l'Ukraine peut empêcher la guerre de dégénérer en destruction complète de l'Ukraine et de son peuple "qui n'existent pas", avant d'autres

  • Posté par Bertrand Christophe, vendredi 31 mars 2023, 12:51

    Le régime de Vladimir Poutine est né de la guerre et de la violence (attentats de 1999 attribués au FSB , à Moscou, Bouïnaksk et Volgodonsk ; deuxième guerre de Tchétchénie), il s’est placé continuellement sous le signe de la confrontation armée (Géorgie, Ukraine, Syrie), ce qui lui a assuré une certaine popularité. En l’absence de toute perspective d’avenir proposée au peuple russe depuis l’échec de la présidence Medvedev (2008-12), le culte de la « grande guerre patriotique » ou d'une prétendue menace de l'Occident se sont imposés comme les ciments idéologiques du pouvoir russe. Dans la vision du monde de Poutine, la guerre est un état normal . Tant que Poutine est au Kremlin, la guerre ne s’arrêtera pas

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