Accueil Culture Scènes

Ô «Rage», ô désespoir, ô virilisme ennemi

Marre de laisser couler, de rester polies, d’attendre sagement que ça change ? Au Théâtre National, deux spectacles de femmes s’emparent avec une violence assumée de la masculinité toxique. Quand la scène vise les burnes, ça fait « mâle » ! Au Théâtre de la Vie aussi, on dé-bite le connard-type.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 5 min

Les temps changent, il ne fait plus bon vivre pour les connards », prévient la metteuse en scène Emilienne Flagothier. Sur le plateau de Mars à Mons, où  Le Soir a découvert le spectacle, c’est même un temps de merde qui s’abat littéralement sur les gros lourds, tous ces nazes qui ont raté le train de #MeToo et continuent de polluer l’espace public (et privé) avec leurs vieux réflexes sexistes, leurs blagues salaces, leurs gestes déplacés, leur manière de s’étaler, gonades en liberté, sur les sièges du métro, leur mecsplaining, leur façon de monopoliser une réunion, etc. Dans Rage , c’est donc une drache sauvage qui se déverse sur la tête des mâles toxiques, qu’ils soient juste ploucs ou carrément violents.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Scènes

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs