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En plus d’une grenade, l’auteur de l’attaque à Anderlecht avait également une arme à feu

Le parquet a été informé des faits et a ordonné les premiers devoirs d’enquête, dont la désignation d’un expert en balistique et l’analyse des images des caméras. Le laboratoire de la police fédérale s’est également rendu sur les lieux.

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L’auteur de l’attaque à main armée qui a eu lieu dans un café à Anderlecht jeudi soir portait une arme de poing sur lui, en plus d’avoir lancé une grenade d’entraînement dans l’établissement, indique vendredi le parquet de Bruxelles. L’individu n’a pas encore pu être retrouvé.

Cette attaque dans un café de la rue Edmond Delcourt s’est déroulée jeudi vers 20H10. Un homme est entré dans le bar et a menacé les personnes présentes avec une arme à feu, précise le parquet. «Lorsque l’homme s’est retrouvé seul dans le bar, il a jeté un objet au milieu de la salle et s’est enfui. Les premières constatations ont pu déterminer qu’il s’agissait d’une grenade.»

L’engin n’a pas explosé mais l’établissement a été immédiatement évacué et la police a établi un périmètre de sécurité. Le service de déminage de l’armée (Sedee) s’est déplacé pour désamorcer l’explosif, qui n’était autre qu’une grenade d’entraînement. Lorsqu’il s’est avéré qu’aucun risque n’était encouru, le périmètre de sécurité a été levé.

Le parquet a été informé des faits et a ordonné les premiers devoirs d’enquête, dont la désignation d’un expert en balistique et l’analyse des images des caméras. Le laboratoire de la police fédérale s’est également rendu sur les lieux.

 

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