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Jeanne Herry: «La justice restaurative marche grâce à la confidentialité des échanges»

Dans « Je verrai toujours vos visages », qui sort le 5 avril, la réalisatrice française aborde le sujet méconnu de la justice restaurative. Son film porté par un casting 5 étoiles et nourri d’un gros travail de documentation est puissant et bouleversant.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 7 min

Depuis 2014, en France, la justice restaurative propose à des personnes victimes et aux auteurs d’infraction de dialoguer entre eux dans des dispositifs sécurisés. Jeanne Herry, remarquée avec Pupille, qui parlait de l’adoption, en a fait le sujet de son troisième long-métrage, réunissant un beau panel d’acteurs (Gilles Lellouche, Adèle Exarchopoulos, Leïla Bekhti, Miou-Miou, Dali Bensalah, Jean-Pierre Darroussin, Elodie Bouchez…). Pour réussir cette fiction, elle a planché sur son sujet, notamment aidée par Noémie Micoulet qui, depuis 2016, travaille au sein de l’Institut français de justice restaurative (IFJR), en tant qu’animatrice de rencontres condamnés-victimes et de médiations restauratives, ainsi qu’en tant que formatrice en justice restaurative.

Comment avez-vous perçu que la justice restaurative pouvait être un bon sujet de cinéma ?

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