Avec l’attentat de Nice, les médias ont pris plus de recul depuis Paris et Bruxelles
La tragédie de Nice risque d’accentuer le sentiment qu’« on n’est plus en sécurité nulle part »… Pour la psychologue Adélaïde Blavier (Ulg), dans ce contexte, les médias ont un rôle important à jouer en termes de pédagogie.


Le carnage de Nice, perpétré par un « indigène » sans antécédents radicaux, avec des moyens somme toute dérisoires, est particulièrement anxiogène. Avec quelles conséquences dans des sociétés déjà saturées d’images de terreur ?
Nous avons interrogé Adélaïde Blavier, docteur en Sciences psychologique de l’Université de Liège, où elle est désormais chargée de cours en psychologie-traumatique. À ce titre, elle avait notamment analysé les réactions de la population suite à la fusillade à Liège du 13 décembre 2011.
Le modus operandi de l’attentat de Nice ne risque-t-il pas d’augmenter encore le stress, la méfiance voire la paranoïa dans la population ?

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