Sentant le vent de la critique, Charles Michel réplique: «Je ne vais pas me laisser déstabiliser»
Le président du Conseil européen assure qu’il ne va pas se laisser « déstabiliser ». Mais la charge est pesante. D’où vient-elle ? Il émet deux hypothèses, sans « balancer » les coupables. Charles Michel pointe ceux qui prendraient ombrage de l’ambition internationale de l’Union européenne. Et « l’ambiance pré-electorale », qui verrait la course déjà lancée pour les futurs « top jobs » promis aux Européens…


La « carapace », dont il se drape, aurait-elle été percée ? Charles Michel s’érige en ardent « défenseur de la liberté de la presse ». Mais là, manifestement, le président du Conseil européen ne veut plus laisser passer. Après deux articles sévères publiés dans des médias à audience internationale, Le Monde en France et l’américain Politico, il décide de monter au créneau. Pour dénoncer ce qu’il qualifie de propos « mensongers » ou, à tout le moins, de présentation malhonnête des faits, « biaisée », dit-il. Mercredi, il a enchaîné les entretiens avec la presse – belge –, du Soir à Moustique, en passant par La Libre, De Standaard, Sudinfo puis RTL. Pour donner sa version des faits. Et accuser : derrière les attaques
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir27 Commentaires
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Posté par P P, vendredi 14 avril 2023, 14:34
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Posté par Patric Stun, jeudi 13 avril 2023, 16:12
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Posté par STORDIAU Pierre, vendredi 14 avril 2023, 15:26
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Posté par Bricourt Noela, jeudi 13 avril 2023, 11:36
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Posté par Masure Luc, jeudi 13 avril 2023, 10:03
Plus de commentairesUne plainte pénale en Belgique contre Ursula von der Leyen dans l’affaire des SMS avec Pfizer (info Le Vif)
Qu'il finisse son mandat et aille comme tous les autres, vivre sa plantureuse retraite aux frais du contribuable.
... et comment vont les retraites des propagandistes ... dans leurs somptueuses datcha au pays des soviets ?
Mr Michel devrait comprendre que les questions posées sont légitimes. Il devrait admettre que sa légitimité soit mise en cause car il a atteint les sommets grâce à sa famille. Bref, il ne peut pas considérer qu'il a tous les droits comme un petit enfant surprotégé. Dans une vraie démocratie, les décideurs doivent justifier les dépenses.
""Je préfère le reproche d’en faire trop que pas assez"" Cela dépend du trop de quoi. Pour les dépenses, il vaut mieux ne pas en faire assez qu'en faire trop.