L’Europe face aux migrants: toujours trop peu, trop tard
Les politiques tentent de colmater les brèches mais le flot de migrants a toujours une longueur d’avance. Et la crise s’aggrave de mois en mois.


Dans la nuit du 18 au 19 avril, un chalutier surchargé de migrants chavire en Méditerranée. Parti de Libye, le bateau sombre à 200 kilomètres de l’île italienne de Lampedusa, provoquant la mort d’environ 800 personnes. Le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés déplore « la pire hécatombe jamais vue en Méditerranée ».
Malheureusement, ce naufrage est loin d’être une exception. Le 12 avril, par exemple, un cas similaire avait provoqué la mort de 400 migrants. Depuis le 1er janvier, 1.500 personnes avaient déjà disparu en mer.
Le 20 avril, les ONG profitent de l’attention médiatique autour du naufrage de la veille pour répéter le message qu’elles martèlent depuis des mois.

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