La guerre en Ukraine profite à l’industrie du gaz fossile


La « stratégie du choc ». Le dernier rapport Greenpeace n’y va pas par quatre chemins : l’ONG y accuse l’industrie du gaz naturel fossile d’avoir profité de l’effet de sidération et de peur provoqué par l’invasion russe en Ukraine et ses conséquences sur le marché énergétique pour « verrouiller » la construction de davantage d’infrastructures de transport et d’ainsi assurer la pérennité de son activité pour plusieurs décennies. « L’industrie gazière sait qu’elle est appelée à disparaître à terme », rappelle Mathieu Soete, responsable Climat et Energie chez Greenpeace Belgique. « Elle a profité de la crise pour s’acheter dix ou vingt ans de vie supplémentaire ».

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir19 Commentaires
Je ne suis pas toujours en accord avec tout ce que Greenpeace dit (avec l'Allemagne qui fait tourner le charbon à la place de ses centrales nucléaires etc.)... mais il faut bien admettre que toute cette gabegie dépensée par la "guerre spéZiale" et qualifiée de "dé-nazification" ... aurait mieux fait d'être dépensée pour décarboner la planète ! Le total dépensé pour cette guerre; la reconstruction de l'Ukraine; la déstabiliZation de l'Afrique par Wagner et tout ce qui pendra encore au nez des générations futures ... aurait largement permis d'atteindre les objectifs des "1,5 degrés" ! Triste.
Un seul responsable de tout ce chaos : poutin' !
Mais, M. Maesen, ils savent tellement de choses!
Décidément ... <Lefèvre>, <Vanloo>, <Dumont> : la ribambelle (TM) reste présente en force sur le "front".
Sneyers, toujours à côté de la plaque