Agressivité et intimidation : le cocktail amer du maintien de l’ordre à la française

Nos voisins font figure d’ovni dans le paysage sécuritaire européen, notamment en matière d’usage des armes en marge des manifestations.

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Un manifestant frappé par un policier en marge de la manifestation du 1er Mai à Paris.

Cheffe adjointe au service Monde

Par Marine Buisson

Publié le 2/05/2023 à 19:22 Temps de lecture: 2 min

Des casseurs déterminés, des policiers blessés, des manifestants brutalisés… Depuis le recours au 49.3 par Elisabeth Borne, les rassemblements contre la réforme des retraites ont été marqués par un regain de tensions entre forces de l’ordre et manifestants. Au lendemain du 1er Mai, le bilan est morne : 540 personnes interpellées et 406 policiers et gendarmes blessés. De son côté, l’observatoire des street-medics (organisme chargé de recenser et documenter les personnes prises en charge par les secours volontaires en manifestation) estimait à 20 heures ce lundi qu’il fallait compter 200 blessés dont 30 sévèrement.

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6 Commentaires

Posté par collin liliane, mercredi 3 mai 2023, 10:14

"L'agence de notation Fitch abaisse la note de la France d'un cran, de AA à AA-" (il y a 4 jours) ce qui signifie que la confiance des investisseurs baisse d'un cran, en partie à cause du climat social. Que les manifestants continuent à faire les andouilles, et c'est jusqu'à 80 ans qu'ils finiront par devoir travailler.

Posté par Vanloo Marc, mercredi 3 mai 2023, 10:10

Tiens le Soir défend l'Anarchie maintenant !

Posté par Naeije Robert, mercredi 3 mai 2023, 8:46

Article très tendancieux. La violence était clairement le fait de manifestants qui voulaient en découdre avec la police.

Posté par Fonder Daniel, mercredi 3 mai 2023, 7:44

C’est une escalade oui mais appeler les uns des manifestants et les autres la répression ….il y a une petite erreur d’interprétation …

Posté par Lecocq Jean-Louis, mardi 2 mai 2023, 20:19

Et les provocations de l’extreme gauche (black blocs & co) on en parle?

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