Fabian Cancellara, l’ours à deux têtes
Le Bernois laisse un palmarès prodigieux au vélo
Invalid Scald ID.

Le principal écueil pour lui, c’était de tenir le coup jusqu’à Berne afin d’y goûter aux joies d’un hommage appuyé. Etre fêté de son vivant de coureur dans sa propre cité, c’est plutôt rare pour un coureur cycliste.
« Une fois la ligne franchie, il me reste quatre kilomètres pour rentrer chez moi », précisa Fabian Cancellara dans l’impossibilité de se mettre en valeur dans une étape dominée par le duo des Etixx Alaphilippe et Martin puis par ce diable de Sagan avec lequel le Suisse n’a jamais entretenu des relations amicales. Le Slovaque lui avait fait la nique à Seraing en 2012 dans la montée finale où, tout de jaune vêtu, il avait été battu sur le fil par l’insolent futur bonhomme vert. La vengeance fut limpide trois ans plus tard en Zélande où le Bernois effaça d’un coup de 53 dents le premier rêve en jaune de Sagan.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire