Erdogan n’a pas dit son dernier mot


En se rendant massivement dans les bureaux de vote dimanche, les électeurs turcs ont exprimé leur choix. Mais à l’image de la Turquie d’aujourd’hui, ils n’ont pas réussi à désigner de vainqueur au premier tour de la présidentielle, hésitant entre deux camps s’affrontant sur des politiques et des projets de société radicalement différents.
Au pouvoir depuis vingt ans, Recep Tayyip Erdogan, déjouant tous les pronostics, a réussi un double exploit… D’abord en arrivant en tête des suffrages mais sans toutefois dépasser la barre des 50 % qui lui aurait permis de rempiler pour un nouveau mandat sans devoir affronter son rival social-démocrate Kemal Kiliçdaroglu. Le candidat de l’opposition rêvait de l’emporter haut la main, la formule – inédite pour la Turquie – n’a pas donné le résultat escompté. Autre exploit, la coalition sortante emmenée par le parti d’Erdogan conserve sa majorité au Parlement.
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C'est un peu comme le P$ en wallonnie toujours là malgré toutes leurs casseroles.