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« Catawiki, c’est 75.000 objets par semaine »

Il y a tout juste un mois, la plateforme de vente aux enchères Catawiki organisait à Paris son premier événement « dans la vie réelle » où le grand public pouvait faire examiner ses trésors par des experts. 15 ans après sa création aux Pays-Bas, le spécialiste de la vente en ligne accélère son développement. Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Culture Temps de lecture: 2 min

Elle est la bête noire des maisons d’enchères respectables. Catawiki, cette salle de ventes virtuelle, hybride dérivée des premiers sites d’e-commerce de type eBay, veut redorer son blason dans le milieu. Présente dans une soixantaine de pays, avec un demi-milliard d’euros en volume de ventes en 2022, la plateforme bénéficie de la bonne vibe qui touche le marché de l’art depuis la pandémie.

Ultra-simple d’utilisation – près de 60 % des achats se font par l’application mobile – , moins impressionnante que les maisons traditionnelles comme Sotheby’s ou Christie’s, Catawiki séduit les fans de montres, de bijoux, de vins, d’objets d’art, qui dépensent chez elle quelque 1.000 euros par an.

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