Huit ans après le « dieselgate », le premier manager du groupe Volkswagen passe enfin aux aveux

L’ancien membre du directoire de Volkswagen n’aura prononcé qu’un seul mot à l’audience de mardi devant le tribunal de Munich où il comparaît pour escroquerie : oui. C’est son avocate qui a lu à sa place ses propres aveux pendant quatre minutes. « Il n’a pas réussi à résoudre la crise du diesel au sein du groupe », a déclaré Ulrike Thole-Groll. « Il aurait dû faire preuve d’une plus grande vigilance », a-t-elle ajouté.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
« Il aurait dû faire preuve d’une plus grande vigilance ». Lol, il savait.
Et puis c'est tout. Comme quoi : plus c'est gros, plus ça passe