« Je dirais même plus » : Sofagate. Saison 2


Erdogan contraint à un second tour, quelle mauvaise nouvelle pour les parlementaires wallons. Empêtrés dans le Fauteuilgate, ils espéraient liquider vite fait bien fait tout ce mobilier clinquant, doré, somptueux qu’ils avaient commandé à une société amie pour le fourguer au président turc, qui a un besoin urgent de fauteuils confortables. Tape-à-l’œil de préférence. Une fois réélu, il verra en effet défiler à Ankara les représentants de la communauté internationale venus lui rendre hommage comme ils le font souvent quand un homme a réussi à montrer qu’il est le plus castard de tous. Pas question alors pour le président Erdogan de se retrouver comme il y a deux ans sans même une chaise de cuisine à offrir à la présidente de la Commission européenne. On pourrait évidemment suggérer à M. Michel, qui ne voyage qu’en jet privé depuis qu’il a été couronné Charles, roi de l’Europe, d’emporter un siège avec lui plutôt que de piquer celui du grand vizir sous le nez de sa collègue.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Nos "excellences" s'en moquent (KVD le dirait mieux) : ils ont réussi à fourguer le dossier (pas celui des fauteuils) à la justice et sont tranquilles pour dix ans... ou plus !
Super cet article!
TRISTE - UNE déception pour ceux qui ont envie de vivre et de travailler d'une manière " honnête" sans dépendre des " gestes " de l' ETAT PROVIDENCE -
Bravissimo au chroniqueur Alain Berenboom : a lire sans modération pour les coincés du prosibe ! Mdr.