Des F16 pour l’Ukraine: lettre ouverte à Joe Biden
De nombreuses personnalités européennes adressent une lettre ouverte au Président des Etats-Unis, lui demandant de fournir sans tarder des F16 à l'Ukraine.

Monsieur le Président,
Nous voudrions avant tout vous remercier ainsi que le secrétaire à la Défense, Lloyd Austin, le secrétaire d’Etat, Anthony Blinken, et la très large coalition bipartisane du Congrès pour votre indéfectible soutien à l’Ukraine et pour le leadership que les Etats-Unis ont une nouvelle fois assumé en faveur de la défense des principes fondamentaux de la Charte des Nations unies. Nous croyons, comme vous et comme l’a très bien résumé le général Christopher Cavoli que « la Russie ne peut sortir victorieuse de cette guerre, notre avenir ne le supporterait pas ».
Si nous aurions voulu, souvent, que l’aide procurée à l’Ukraine soit plus rapide et plus importante, nous sommes bien conscients que vous êtes en possession d’informations que nous n’avons pas et que vous avez dû, aussi, fournir un énorme travail pour créer et ensuite renforcer la cohésion de la coalition Ramstein.
Nous vous écrivons aujourd’hui parce que nous sommes inquiets. La tâche qui attend les forces armées ukrainiennes dans les prochains mois est en effet gigantesque et n’est pas sans risque de revers ou de succès partiels. Et, comme l’a rappelé à maintes reprises le général Mark Milley, rien ne serait pire que de sous-estimer les capacités militaires de la Fédération de Russie. En d’autres termes, rien ne nous permet d’exclure que la guerre se poursuive au-delà de l’année 2023.
Une aide indispensable
Comme vous le savez, le général Valerii Zaluzhnyi, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes et de nombreux responsables militaires et politiques ukrainiens estiment que la fourniture d’avions occidentaux est cruciale pour permettre une issue rapide de la guerre. Par ailleurs, comme l’ont affirmé notamment Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’Otan, et James Cleverly, le ministre britannique des Affaires étrangères, la seule véritable garantie de sécurité de l’Ukraine à moyen et long termes passe par une adhésion de celle-ci à l’Organisation atlantique mais que cette adhésion ne sera possible qu’à l’issue de la guerre. Nous ne doutons pas qu’un large consensus en ce sens est en train de se former et que les Etats qui, en 2008 lors du Sommet de l’Otan de Bucarest, ont bloqué ce processus et portent de ce fait une grave responsabilité dans la guerre en cours, se garderont bien de l’entraver à nouveau.
Nous sommes par ailleurs conscients que la maîtrise de l’emploi d’avions modernes occidentaux exige une formation approfondie des pilotes ainsi que la mise en place d’une logistique complexe. Mais nous savons aussi que les soldats ukrainiens, extrêmement motivés, ont démontré une remarquable capacité d’apprentissage.
Enfin, en plus de votre rôle de leader de la coalition Ramstein, votre accord en tant que Président du pays producteur de l’avion auquel les autorités militaires ukrainiennes aspirent le plus, le F16, est indispensable.
Se décider rapidement
Afin que la coalition Ramstein soit en mesure dans six mois, sur base de la réalité militaire et politique du moment, de prendre une décision quant à la fourniture de ces F16 par votre pays et par les pays européens qui en détiennent, il nous semble indispensable qu’une décision soit prise très rapidement en faveur de la formation d’une centaine de pilotes ukrainiens, de la construction de toute la chaîne logistique que comporte la fourniture d’une centaine d’avions ainsi que l’établissement du nombre d’avions que chaque pays membre de l’Otan pourrait effectivement fournir à l’automne 2023 et la préparation de ceux-ci.
Nous vous remercions de mettre tout en œuvre pour atteindre ces objectifs dans un avenir aussi proche que possible et vous assurons, Monsieur le Président, de notre haute considération,
*Signataires :
Annely Akkermann, membre du Parlement, ancienne ministre des finances, Estonie ; Andrus Ansip, membre du Parlement européen, ancien Premier ministre, Estonie : Gert-Johannes Hagemann, général de division (ret.), Allemagne ; Willy Herteleer, amiral (ret.), ancien chef de la défense, Belgique ; Anton Hofreiter, Président de la Commission des affaires de l’Union européenne du Bundestag, Allemagne ; Rasa Jukneviciene, vice-président du Parlement européen, ancienne ministre de la défense, Lituanie ; Roderich Kiesewetter, membre du Bundestag, représentant pour les affaires étrangères du groupe parlementaire CDU/CSU, Allemagne ; Andrius Kubilius, membre du Parlement européen, ancien Premier ministre, Lituanie ; Vytautas Landsbergis, ancien président de la République de Lituanie ; Pandeli Majko, ancien Premier ministre, Albanie ; Marcos Perestrello, membre du Parlement, président de la Commission de la Défense, Portugal ; Karel Schwarzenberg, ancien ministre des affaires étrangères et vice-premier ministre, République tchèque ; Kalev Stoicescu, membre du Parlement, président de la Commission de la Défense nationale, Estonie ; Jaroslaw Strozyk, général de brigade (ret.), professeur adjoint à l’université de Wroclaw, Pologne ; Pekka Toveri, général de division (ret.), membre du Parlement, Finlande ; Michael Aastrup Jensen, membre du Parlement, Danemark ; Cengiz Aktar, professeur de sciences politiques à l’université d’Athènes ; Alberto Alemanno, professeur de droit européen Jean Monnet, HEC Paris, fondateur de The Good Lobby ; Katarina Ammitzboll, ancienne membre du Parlement, Danemark ; Martin Andler, mathématicien, professeur émérite à l’université de Versailles-St-Quentin, France ; Antoine Arjakovsky, directeur de recherche, Collège des Bernardins, France ; Olga Artyushkina, maître de conférences HDR en grammaire et linguistique russes, Université Jean Moulin Lyon 3 ; Anders Aslund, économiste et ancien Senior Fellow au Conseil Atlantique, Suède ; Joao Azevedo Castro, membre du Parlement, Portugal ; Christine Baron, professeur de littérature comparée, Université de Poitiers, France ; Kris Beckers, consul honoraire d’Ukraine en Belgique ; Martine Benoit, professeur d’histoire des idées et d’études allemandes, Université de Lille, France ; Gérard Bensussan, philosophe, professeur émérite à l’Université de Strasbourg, France ; Florian Bieber, professeur d’histoire et de politique de l’Europe du Sud-Est, Centre d’études de l’Europe du Sud-Est, Université de Graz, Autriche ; Michal Bilewicz, professeur associé de psychologie, Université de Varsovie, Pologne ; Magdalena Blenska, membre du Parlement, Pologne ; Pierre Bouchat, professeur assistant de psychologie sociale à l’Université de Lorraine, France ; Alain Bourges, vidéaste, écrivain, professeur d’art à l’Ecole Européenne Supérieure d’Art de Bretagne, Rennes, France ; John Bowis, ancien membre du Parlement européen, ancien membre du Parlement du Royaume-Uni ; Yordan Bozhilov, directeur du Forum de sécurité de Sofia, ancien vice-ministre de la défense de Bulgarie ; Justina Budginaité-Froehly, politologue, Allemagne ; Patricia Caillé, maître de conférences au département Information et Communication, Université de Strasbourg, France ; Michel Caillouët, ancien ambassadeur de l’Union européenne, France ; Enver Can, président fondateur de l’Initiative Ilham Tohti, Allemagne ; Marco Cappato, ancien membre du Parlement européen, Italie ; Paulo Casaca, ancien membre du Parlement portugais, ancien membre du Parlement européen ; Leo M. Chalupa, professeur à la faculté de médecine de l’université George Washington, membre de l’Association américaine pour l’avancement de la science, États-Unis ; Peter Cmorej, membre du Parlement, Slovaquie ; Yves Cohen, historien, directeur d’études à l’EHESS, France ; Dominique Colas, professeur émérite de sciences politiques, Sciences Po, Paris, France ; Dorota Dakowska, professeur de sciences politiques à Sciences Po Aix, France ; Christophe D’Aloisio, chercheur affilié à l’Institut de recherche Religions, spiritualités, cultures, sociétés (RSCS, UCLouvain), directeur de l’Institut de théologie orthodoxe à Bruxelles, Belgique ; Pierre d’Argent, professeur de droit international, Université de Louvain, membre de l’Institut de droit international, Belgique ; Louis Daubresse, chercheur associé à l’Institut de recherche sur le Cinéma et l’Audiovisuel et à la Fondation Balzan, docteur en études cinématographiques et audiovisuelles, France ; Julia David, membre associé de l’Institut d’histoire moderne et contemporaine (CNRS/ENS), France ; Mark Demesmaeker, sénateur, président de la Commission des affaires transversales, Belgique ; Sébastien Denis, professeur, Histoire et études cinématographiques, Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne, France ; Massimiliano Di Pasquale, chercheur associé à la Fondation Gino Germani, Italie ; Boris Dittrich, sénateur, Pays-Bas ; Jean-Marc Dreyfus, historien, maître de conférences à l’Université de Manchester, Royaume-Uni ; André Dumoulin, maître de conférences honoraire, Université de Liège, Belgique ; Olivier Dupuis, ancien membre du Parlement européen, Belgique ; Emmanuel Dupuy, président de l’Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE), France ; Normunds Dzintars, membre du Parlement, Lettonie ; Marc Elie, chargé de recherche au CNRS, directeur adjoint du Centre d’études russes, caucasiennes et centre-européennes – Cercec, France ; Nino Evgenidze, directeur exécutif de l’Economic Policy Research Center (EPRC), Géorgie ; Marta Farion, présidente de la Kyiv-Mohyla Foundation of America, Etats-Unis ; Penelope Faulkner, vice-présidente de Quê Me : Action pour la démocratie au Vietnam, France ; Andrej Findor, professeur associé à l’université Comenius de Bratislava, Slovaquie ; Claude Forest, enseignant-chercheur en économie et sociologie du cinéma à l’Université Sorbonne Paris 3, France ; Céline Gailleurd, maître de conférences, cinéaste, Université Paris 8, France ; Natalia Gamalova, professeur de langue et littérature russes, département d’études slaves, Université de Lyon 3, France ; Vitaliano Gemelli, ancien membre du Parlement européen, Italie ; Julie Gerber, docteur en littérature comparée, maître de conférences à l’Université Jean Moulin Lyon 3, France ; Mridula Ghosh, maître de conférences en relations internationales, Université nationale de Kyiv-Académie Mohyla, présidente du conseil d’administration de l’Institut de développement de l’Europe de l’Est, Kyiv, Ukraine ; Thorniké Gordadzé, ancienne ministre de l’intégration européenne et euro-atlantique de Géorgie, chargée de cours à l’Institut d’études politiques de Paris, Sciences Po, France ; Svetlana Gorshenina, historienne, historienne de l’art, historiographe et spécialiste de l’Asie centrale, directrice de recherche au CNRS Eur’Orbem, Université Paris-Sorbonne, France ; Nicolas Gosset, analyste de défense, chargé de recherche Russie/Eurasie à l’Institut royal supérieur de défense, Bruxelles, Belgique ; Iegor Gran, écrivain, France ; Markéta Gregorova, membre du Parlement européen, République tchèque ; Gustav Gressel, chargé de mission au programme « Europe élargie » du Conseil européen des relations étrangères, Allemagne ; Tomasz Grzegorz Grosse, professeur à l’Université de Varsovie, chef du département des politiques de l’Union européenne à l’Institut d’études européennes, rédacteur en chef du trimestriel International Analyses, Pologne ; Jaroslaw Gryz, professeur à l’Université d’études sur la guerre, Pologne ; Jeanyves Guérin, professeur de littérature française à l’université de la Sorbonne nouvelle, France ; Fernando Adolfo Gutierrez Diaz de Otazu, membre du Parlement, Espagne ; Christophe Hansen, member du Parlement européen, Luxembourg ; Atte Harjanne, membre du Parlement, Finlande ; Rebecca Harms, ancienne membre du Parlement européen et co-présidente du groupe parlementaire des Verts, Allemagne ; Patrick Hassenteufel, professeur de sciences politiques, Université Paris-Saclay (UVSQ), Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, France ; Pavel Havlicek, chercheur à l’Association pour les affaires internationales (AMO), République tchèque ; Oleksandr Havrylenko, professeur à l’Université nationale V. N. Karazin, Kharkiv, Ukraine ; Thomas Heilmann, membre du Bundestag, Allemagne ; Joseph Henrotin, chercheur à l’Institut de stratégie comparée, Belgique/France ; Richard Herzinger, chroniqueur, Berlin, Allemagne ; Maryana Hnyp, professeur d’éthique sociale, Université Ateneo de Manila, présidente du Réseau européen sur la religion et la croyance, Belgique ; Marie Holzman, sinologue, présidente de Solidarité Chine ; Ulrich Huygevelde, coordinateur du Centre Géopolis, Belgique ; Marcis Jencitis, membre du Parlement, Lettonie ; Mario Kadastik, membre du Parlement, Estonie ; Christian Kaunert, professeur de politique de sécurité internationale, Dublin City University et University of South Wales ; André Klarsfeld, vice-président de l’ASBL « Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre ! », professeur d’université émérite, France ; Jurgis Klotins, membre du Parlement, Lettonie ; Miro Kollar, membre du Parlement, Slovaquie ; Gasper Koprivsek, fondateur et directeur d’Elysium Public Affairs, Slovénie ; Andrey Kovatchev, membre du Parlement européen, Bulgarie ; Philip Krämer, membre du Bundestag, Allemagne ; Péter Kreko, maître de conférences et directeur de l’Institut du capital politique, psychologie politique, Université Eotvos Lorand, Hongrie ; Eerik-Niiles Kross, membre du Parlement, ancien directeur des services de renseignement, Estonie ; Yauheni Kryzhanouski, chercheur, Université de Strasbourg, professeur associé à l’Université européenne des sciences humaines, Vilnius ; Robert Kwiatkowski, membre du Parlement, Pologne ; Per Larsen, membre du Parlement, Danemark ; Gérard Lauton, professeur assistant émérite, membre de l’ASBL « Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre ! », France ; Diogo Leao, membre du Parlement, Portugal ; Aurélie Ledoux, maître de conférences, études cinématographiques, Université de Paris Nanterre, France ; Mathieu Lericq, maître de conférences, études cinématographiques, Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis, France ; Ophir Levy, professeur associé, Études cinématographiques, Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis, France ; Sarunas Liekis, professeur de politique et doyen de la faculté de politique et de diplomatie de l’université Vytautas Magnus, Lituanie ; Jarno Limnell, membre du Parlement, Finlande ; Sylvie Lindeperg, professeur à l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et membre émérite de l’Institut Universitaire de France ; Jonathan Littell, écrivain, prix Goncourt, France ; Ramon Loik, analyste en politique de sécurité, Académie estonienne des sciences de la sécurité, ancien conseiller du ministre estonien de la défense ; Raimundas Lopata, membre du Parlement, directeur de l’Institut des relations internationales et des sciences politiques de l’université de Vilnius, Lituanie ; Mihhail Lotman, ancien membre du Parlement, professeur émérite à l’université de Tallinn, professeur à l’université de Tartu, Estonie ; Lubomyr Luciuk, professeur de sciences politiques et d’économie au Collège militaire royal du Canada ; Jaak Madison, membre du Parlement européen, Estonie ; Paul Robert Magocsi, membre permanent de la Société royale du Canada-Académie des arts, des lettres et des sciences sociales ; Damien Marguet, professeur associé, co-directeur du département d’études cinématographiques, Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis, France ; Jean Mariani, professeur émérite, Neurosciences et gérosciences, Faculté de médecine, Université de la Sorbonne, France ; Alain Maskens, médecin, oncologue, fondateur et ancien coordinateur médical de l’Organisation européenne de coopération pour les études de prévention du cancer (ECP), Belgique ; Marie-Claude Maurel, directrice d’études à l’EHESS – École des hautes études en sciences sociales, Centre d’études russe, caucasien et centre-européen, France ; Frédéric Mauro, avocat au barreau de Bruxelles, chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), Paris, France ; Rachel Mazuy, chercheur associé à l’Institut d’Histoire du Temps Présent, maître de conférences à Sciences Po Paris, France ; Alvydas Medalinskas, analyste politique, Université Mykolas Romeris, Vilnius, ancien président de la commission des affaires étrangères du Parlement, Lituanie ; Alexandre Melnik, professeur à l’ICN Business School, expert et consultant en géopolitique, France ; Nona Mikhelidze, chercheur principal à l’Istituto Affari Internazionali (IAI) à Rome, Italie ; Emmanuel Morucci, docteur en sociologie, président du CECI (Cercle Europe Citoyennetés et identités), France ; Alexander Motyl, professeur de sciences politiques, Rutgers University-Newark, États-Unis ; Boris Najman, professeur associé et chercheur en économie à l’Université Paris Est Créteil ; Laure Neumayer, politologue, maître de conférences à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et chercheur senior au Centre européen de sociologie et de science politique à Paris, France ; Olevs Nikers, président de la Fondation balte pour la sécurité, Lettonie ; Alexis Nuselovici, professeur de littérature générale et comparée à l’université d’Aix-Marseille, France ; Lydia Obolensky, professeur de langue et de littérature russes, Belgique ; Ong Thong Hoeung, écrivain, survivant des camps de rééducation des Khmers rouges, Belgique ; Peter Osusky, vice-président de la Commission des affaires étrangères du Parlement slovaque ; Doris Pack, présidente du PPE Femmes, présidente de l’Institut Robert Schuman, ancienne membre du Parlement européen et du Bundestag, Allemagne ; Carmelo Palma, journaliste, directeur de Strade-on-line, Italie ; Franck Petiteville, professeur de sciences politiques, Institut d’études politiques de Grenoble, France ; Jan Pieklo, ambassadeur de Pologne en Ukraine (2016-2019) ; Nicoletta Pirozzi, responsable du programme de l’UE et des relations institutionnelles à l’Istituto Affari Internazionali, Italie ; Andrzej Podraza, professeur, directeur de la chaire de relations internationales et de sécurité, Université catholique de Lublin, Pologne ; chercheur invité, Université de Notre Dame, États-Unis ; Henn Polluaas, membre du Parlement, Estonie ; Bohdan Prots, professeur associé, Programme Danube-Carpates et Musée d’État d’histoire naturelle, Académie nationale des sciences d’Ukraine, Lviv, Ukraine ; Jean-Paul Pylypczuk, directeur de la publication « La parole ukrainienne », France ; Eva Quistorp, théologienne, écrivain, ancienne membre du Parlement européen, Berlin, Allemagne ; Pierre Raiman, secrétaire de l’ASBL « Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre ! », France ; Christian Rocca, directeur éditorial de Linkiesta, Italie ; Sylvie Rollet, professeur émérite, présidente de l’asbl « Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre ! », France ; Bronis Ropé, membre du Parlement européen, Lituanie ; Marie-Claude San Juan, écrivain et blogueuse, France ; Andrei Sannikov, président de la Fondation européenne pour la Biélorussie, ancien vice-ministre des affaires étrangères (1995-1996), ancien prisonnier de la conscience, Belarus ; Anton Shekhovtsov, directeur du Centre pour l’intégrité démocratique, Autriche ; Vasile Simileanu, Directeur & Editeur, GeoPolitica Magazine, Roumanie ; Sjoerd Sjoerdsma, membre du Parlement, Pays-Bas ; Ivan Stefanec, membre du Parlement européen, Slovaquie ; Wally Struys, professeur émérite, économiste de la défense, Académie royale militaire, Belgique ; Raul Suevos, colonel (ret.), ancien directeur de la communication de l’Eurocorps et ancien commandant du bataillon multinational du QG de l’Eurocorps, Espagne ; Marcin Swiecicki, ancien ministre de la Coopération économique extérieure, ancien maire de Varsovie, Pologne ; Igor Taro, membre du Parlement, Estonie ; Ewa M. Thompson, professeur émérite d’études slaves, Université de Rice, USA ; Nathalie Tocci, professeur honoraire à l’université de Tübingen, directrice de l’Istituto Affari Internazionali, Italie ; Patrizia Tosini, professeur associé d’histoire de l’art moderne, Université Roma Tre, Italie ; Florian Trauner, chaire Jean Monnet à l’Institut d’études européennes de la Vrije Universiteit Brussel (VUB), professeur invité au Collège d’Europe, Belgique ; Andreas Umland, analyste au Centre d’études de l’Europe de l’Est de Stockholm ; Jacques Vallin, directeur de recherche émérite, INED, Campus Condorcet, France ; Karl Vanlouwe, membre du Parlement flamand, sénateur, Belgique ; Maïrbek Vatchagaev, historien tchétchène et analyste politique du Caucase du Nord à la Fondation Jamestown, co-éditeur de la revue « Caucasus Survey » ; Sarah Whitmore, maître de conférence en science politique, responsable de l’éthique de la recherche, École des sciences sociales, Université d’Oxford Brookes, Royaume-Uni ; Kataryna Wolczuk, professeur de sciences politiques, Centre d’études russes, européennes et eurasiennes (CREES), École de gouvernement, Université de Birmingham, Royaume-Uni ; Miroslav Ziak, ancien membre du Parlement, Slovaquie.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Bravo pour cette belle initiative de soutien total à l'Ukraine. Il est plus que temps que la racaille où qu'elle se trouve et sévisse soit combattue par une alliance démocratique. Les dictatures communistes et islamiques font partie de ces racailles nauséabondes.
d'accord avec vous pour les deux.