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« La sœur de Jésus-Christ » : bon dieu de bon dieu, quelle pièce !

Epoustouflant, Félix Vannoorenberghe fait vivre tout un village italien emporté dans la révolte d’une jeune fille qui soudain refuse de porter la croix du patriarcat et embarque dans une marche inéluctable. Ou la Passion selon Saint Georges (Lini), qui signe une mise en scène prodigieuse. Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

Dans l’Evangile, le Christ marche vers le Golgotha pour mourir sur la croix en rédemption des péchés du monde. Dans le texte d’Oscar de Summa, c’est La sœur de Jésus-Christ qui chemine à travers un village italien pour, au bout de la route, donner la mort en châtiment des péchés de certains hommes. Si le Christ rencontre quelques proches sur la via dolorosa, Maria emportera toute une communauté dans son sillage. L’heure du jugement est venue et Maria ne fait confiance ni à la justice des hommes ni à celle de Dieu. Finira-t-elle par actionner la gâchette de son Smith & Wesson 9 mm une fois arrivée devant Angelo le Couillon, celui qui lui a fait violence la veille ? On vous laisse le découvrir dans cette fascinante pièce à l’affiche du Poche, à mi-chemin entre la Passion et le western.

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