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Anne Desobry au Salon d’Art : un monde qui s’effondre

En dessins à l’encre de chine ou en peinture à l’huile sur bois et sur toile, Anne Desobry suggère un monde de cris muets, de destructions, d’enfermement et d’aveuglement. Article réservé aux abonnés
Chef adjoint au service Culture Temps de lecture: 2 min Anne Desobry. Répétition(s), jusqu’au 15 juillet au Salon d’Art, 81 rue de l’Hôtel des Monnaies, 1060 Bruxelles, www.lesalondart.be

De petites maisons blanches, des mains dans le vide, des paires de lunettes, des oreilles, des micros, une montagne à l’envers, des murs, des clôtures… l’univers d’Anne Desobry est peuplé d’éléments solitaires, détachés de tout contexte et dont on sent pourtant qu’ils ont un lien direct avec des événements, des lieux, des personnes…

Au Salon d’Art, où elle expose à intervalles réguliers depuis près de trente ans, on peut découvrir ses plus récentes créations réalisées pour la plupart ces deux dernières années. D’une part, des lavis sur papier. D’autre part, des peintures à l’huile de petit format, sur toile ou sur bois.

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