Une manifestation de force et un aveu d’impuissance

Un lundi rouge, vert et bleu dans les rues de Bruxelles. A l’appel du front commun syndical, une manifestation est partie de la gare du Nord pour gagner la place Poelaert et le Palais de Justice de Bruxelles. Un rassemblement au double mot d’ordre : pour apporter son soutien aux salariés de Delhaize, en grève depuis deux mois et demi contre le plan de franchisation des magasins de l’enseigne, et en faveur des libertés syndicales, menacées aux yeux des syndicats par de récentes décisions de justice et par le projet de loi du ministre de la Justice. Que retirer de cette mobilisation ?

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir10 Commentaires
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Posté par Retine Marc, mardi 23 mai 2023, 20:47
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Posté par cordier laurent, mardi 23 mai 2023, 16:17
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Posté par Vanloo Marc, lundi 22 mai 2023, 19:48
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Posté par Lison Jacques, lundi 22 mai 2023, 19:36
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Posté par Emma Gallini, lundi 22 mai 2023, 19:22
Plus de commentairesAttention, en cherchant un peu nous sommes quasi tous franchisables. Aujourd'hui Delhaize demain à qui le tour??? En politique et en sociologie, diviser pour régner est une stratégie visant à semer la discorde et à opposer les éléments d'un tout pour les affaiblir et à user de son pouvoir pour les influencer. Cela permet de réduire des concentrations de pouvoir en éléments qui ont moins de puissance que celui qui met en œuvre la stratégie, et permet de régner sur une population alors que cette dernière, si elle était unie, aurait les moyens de faire tomber le pouvoir en question. Chez Machiavel : « Divide et impera », 'divise et règne'
Selon Coluche : "le capitalisme, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le syndicalisme, c'est le contraire !". A méditer !
A titre d'exemple la célèbre marche blanche (affaire Dutroux) avait rassemblé + de 210.000 personnes à Bruxelles
Autour de 20000 personnes, une manifestation de masse ???
Le mouvement social institutionnalisé, rien de plus! D'un point A à un point B. Pathétique voire complice... Discrédit de la classe politique sans aucun doute. Mais tout autant sinon bien plus des organisations syndicales. Aucune fraicheur dans leur chef. Les "bonnes" vieilles méthodes de type STIB qui ne font qu'impacter les plus vulnérables. De surcroît au nom de motifs assez borderline trop souvent. Les mêmes formations aux mêmes endroits (Borzée pour les socialos) et exsangue de créativité. Peut-être difficile de se mettre à la place du prolo quand on va chercher 6.000 boules par mois. Quand le Peuple saisira-t-il qu'il a son sort entre les mains et plus par procuration?