Accueil Économie Entreprises

Infrabel diminue l’empreinte carbone de ses rails

Pour renouveler ses rails, le gestionnaire du réseau ferroviaire a fait appel à un sidérurgiste produisant l’acier par le biais d’une filière électrique, moins émettrice de CO2 que la filière classique, par hauts-fourneaux. Un choix économique avant tout, l’offre étant la moins chère.  Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Economie Temps de lecture: 3 min

Quelque 500 kilomètres de rails sont renouvelés chaque année sur le réseau d’Infrabel en Belgique – un réseau qui est constitué de 3.600 kilomètres de lignes, soit 7.800 kilomètres de rails. De telles poses se justifient par l’usure des infrastructures : les rails sont remplacés tous les 15 ans environ sur les voies les plus fréquentées, comme celles reliant Bruxelles à Anvers par exemple, parfois plus vite encore sur certaines portions du réseau, comme la Jonction bruxelloise.

Qui dit remplacement de rails pense commande d’acier, et c’est dans ce cadre que se situe l’annonce, par le gestionnaire du réseau ferroviaire, de la livraison de 2.800 kilomètres de « rails verts ». A savoir : des rails qui n’ont rien d’exceptionnels, si ce n’est que l’acier dont ils sont constitués n’est pas produit dans des hauts-fourneaux mais par le biais d’une filière dite électrique.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Entreprises

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs