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« Lettre de la City » : Cherche « l’homo numericus » désespérément

Le niveau moyen en maths des traders de la City est insuffisant, considérant la complexité des produits financiers qu’ils manipulent… Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 4 min

A priori, rien n’illustre davantage la planète finance que la statue en bronze du trader élevée en plein cœur de la City. L’œuvre d’art représente un courtier du marché londonien à terme, Liffe, échevelé, le carnet dans la poche, une veste à rayures qui lui tient lieu d’uniforme, le téléphone portable à l’oreille. Il défie l’Angleterre avec son argent vite gagné et aussi vite dépensé en recourant à une simple règle de trois.

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