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Franz Rogowski : « Je me bats pour les films d’auteur »

Magnétique et insaisissable, Franz Rogowski est au cœur de « Disco Boy », le premier long-métrage de Giacomo Abbruzzese. Un film sans concession, à l’image de l’acteur allemand. Article réservé aux abonnés
Par Gaëlle Moury, à Berlin
Temps de lecture: 5 min

Il est l’un des visages phares des derniers films de l’Allemand Christian Petzold (dans Transit et Ondine, aux côtés de la lumineuse Paula Beer). Vu aussi chez Michael Haneke (il joue le fils d’Isabelle Huppert dans Happy End) ou chez Sebastian Meise (dans le délicat Great Freedom). À la fois magnétique et insaisissable, Franz Rogowski est au cœur de Disco Boy, le premier long-métrage de Giacomo Abbruzzese. Une plongée dans un univers presque mystique où il incarne Aleksei, un homme s’engageant dans la Légion étrangère, prêt à risquer sa vie pour devenir français. Un personnage aux multiples facettes, à la recherche d’un idéal qui, lors d’une mission dans le delta du Niger, va aller à la rencontre des croyances et de l’au-delà, guidé par la danse (et la transe).

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