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Virginie Efira : « La seule personne perverse sur un tournage, c’est moi avec moi-même »

Virginie Efira défend deux films en sélection officielle : « L’amour et les forêts » de Valérie Donzelli (en salles le 7 juin), et « Rien à perdre », de Delphine Deloget. Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Culture Temps de lecture: 5 min

En 2022, sublime dans une robe à paillettes griffée Yves Saint Laurent, Virginie Efira séduisait tout Cannes en maîtresse de cérémonie. En 2021, elle gravissait les marches avec Paul Verhoeven pour défendre la sulfureuse Benedetta. Cette année, elle est là avec deux films en sélection officielle : L’amour et les forêts, de Valérie Donzelli, thriller psychologique racontant l’emprise au sein d’un couple, projeté à Cannes Première (et en salles le 7 juin), et Rien à perdre, drame familial de Delphine Deloget, dans la section Un certain Regard. Toute de noir vêtue, ce qui fait ressortir la blondeur de ses cheveux et dissimule à peine son ventre rond, Virginie Efira est détendue, rieuse, concentrée. Elle enlève ses escarpins à hauts talons et répond avec naturel.

Dans L’amour et les forêts, de Valérie Donzelli, vous incarnez des sœurs jumelles. Avez-vous laissé s’exprimer d’un côté votre part belge et de l’autre votre part française ?

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