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« Séparer le climat et l’effondrement de la biodiversité est la pire des solutions »

En Belgique, la situation des oiseaux qui vivent dans des zones agricoles est déjà alarmante et le Giec affirme qu’il faut appuyer sur l’accélérateur, pas sur le frein, estiment les experts. Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Société Temps de lecture: 1 min

Faire une pause en matière de législation sur le climat pour ne pas surcharger la législation en renforçant les normes en matière d’azote, de restauration de la nature et de biodiversité, en plus des objectifs concernant les émissions de CO2. Telle est la proposition exprimée par le Premier ministre Alexander De Croo à la VRT mardi soir. Vouloir scinder le climat et la biodiversité a-t-il un sens ? « Les déclarations d’Alexander De Croo sont totalement incompréhensibles », a réagi sur Twitter Nicolas Van Nuffel, président de la Coalition Climat. « Séparer la crise climatique de l’effondrement de la biodiversité est la pire des solutions. Le problème du dépassement des limites planétaires est systémique, les solutions doivent être systémiques. »

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