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« My AI » : faut-il s’inquiéter de l’intelligence artificielle sur Snapchat ?

Une nouvelle fonctionnalité sur le réseau social permet de discuter avec un « chatbot » dérivé de ChatGPT. Les associations d’aide à la jeunesse mettent en avant certains risques et conseils. Avec LéNA, découvrez le meilleur du journalisme européen. Article réservé aux abonnés
Par Sonia Imseng («La Tribune de Genève»)
Temps de lecture: 1 min

Salut, ça va ? Que fais-tu de beau aujourd’hui ? » Sur Snapchat, ces échanges sont courants entre amis, mais désormais, ces questions peuvent également être posées par une intelligence artificielle (IA). L’entreprise a lancé, en février, son chatbot « My AI ». D’abord disponible pour les utilisateurs payants, il est, depuis mai, ouvert à tout le monde. Une nouvelle technologie qui, comme ChatGPT, fonctionne avec l’entreprise OpenAI.

Lors de la première conversation, un message indique notamment de ne pas se fier à l’IA, et il est possible de donner un feedback sur son expérience. Si l’on confie un problème lié à notre santé physique comme psychique, le chatbot conseille d’en parler à un professionnel ou un adulte. « Il est effectivement important de se tourner vers une aide extérieure humaine, qui pourra mieux prendre en compte toutes les composantes afin de fournir une aide adaptée », réagit Martina Gregori-Robbiani.

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