Odile d’Oultremont: « Je suis mots-dépendante, on peut dire ça ? »


Après Les Déraisons et Baïkonour, qu’elle va bientôt réaliser au cinéma, Odile d’Oultremont ajoute un troisième opus à son travail d’écrivaine : Une légère victoire. Le premier parlait de la tragédie du cancer avec fantaisie et humour. Le deuxième était l’amour en deux dimensions entre un grutier perché à la verticale et une apprentie pêcheuse voguant sur la mer à l’horizontale. Ce troisième met en scène un banal accident de voiture. Sauf que la jeune femme écrasée par l’auto de Nour Delsaux est morte. Et que si elle a surgi comme ça sans que Nour ait pu faire quoi que ce soit, celle-ci se sent responsable. Et que Constance, la morte, est l’enfant d’un détenu depuis 25 ans, Yarol Ponthus, qui ne fait plus que penser à elle.

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