Accueil Culture Livres

Odile d’Oultremont: « Je suis mots-dépendante, on peut dire ça ? »

« Une légère victoire », c’est la rencontre improbable et magnétique orchestrée par Odile d’Oultremont entre une jeune femme qui a oublié ses ambitions et un détenu écroué depuis 25 ans. Lisez le premier chapitre. Article réservé aux abonnés
Responsable des "Livres du Soir" Temps de lecture: 4 min Une légère victoire, Odile d’Oultremont, Julliard, 250 p., 20€

Après Les Déraisons et Baïkonour, qu’elle va bientôt réaliser au cinéma, Odile d’Oultremont ajoute un troisième opus à son travail d’écrivaine : Une légère victoire. Le premier parlait de la tragédie du cancer avec fantaisie et humour. Le deuxième était l’amour en deux dimensions entre un grutier perché à la verticale et une apprentie pêcheuse voguant sur la mer à l’horizontale. Ce troisième met en scène un banal accident de voiture. Sauf que la jeune femme écrasée par l’auto de Nour Delsaux est morte. Et que si elle a surgi comme ça sans que Nour ait pu faire quoi que ce soit, celle-ci se sent responsable. Et que Constance, la morte, est l’enfant d’un détenu depuis 25 ans, Yarol Ponthus, qui ne fait plus que penser à elle.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Livres

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs