Giro: Eddy Merckx et les Tre Cime di Lavaredo, quand le mythe transperce la légende
Ce vendredi, aux Tre Cime di Lavaredo, le Giro débarque au sommet d’un col exceptionnel qui a façonné la carrière naissante du meilleur coureur de tous les temps, Eddy Merckx, en 1968.

Pour les distinguer à l’horizon de la frontière italo-autrichienne, il faut que les planètes soient alignées en termes de météo. Un peu comme elles, finalement, car les « Tre Cime » semblent avoir été posées par l’homme, comme les menhirs des alignements de Carnac. Ou les statues de l’île de Pâques. Trois édifices aussi larges que hauts, imposants, qui semblent vous regarder, lorsque vous les voyez au plus près depuis le refuge Auronzo, là où la route bitumée s’arrête à 2300 mètres, là où depuis 1967, le Giro y installe parfois un morceau de caravane, quelques coureurs rescapés, une vague ligne d’arrivée secouée par les frimas.
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