Au festival de Cannes, entre rire et vomi, du vide et beaucoup de désespoir


Le festival en mode introspection, c’est ce que renvoient les films de la compétition. A l’intérieur du couple, en face-à-face avec soi-même, dans une mise en abyme du cinéma, dans une analyse clinique des faits, dans l’action caméra à l’épaule. Car, comme le dit un personnage du film fascinant et très réussi de Justine Triet, Anatomie d’une chute, « quand on ne sait pas comment, on doit se demander pourquoi ». Chaque fois, avec un point de vue, un regard de cinéaste pour dire nos emprises face à la liberté d’être, d’aimer, de penser, de vivre.
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