Le défi environnemental sera relevé par l’audace, pas par la peur


Concilier économie et écologie ? Voilà qui visiblement hante certains hommes politiques, sous pression aussi de groupes industriels, agricoles et autres, qui estiment que les réglementations environnementales qu’on leur impose vont nuire à leur rentabilité, voire à leur existence. Cela reste évidemment un vrai et difficile défi à relever. Mais il n’a rien d’impossible, surtout si le monde politique renonce à gérer la question dans la crainte et la soumission pour se faire promoteur, orchestrateur et facilitateur des voies souvent déjà existantes du changement. Mais il faut aussi pour cela qu’il accepte de modifier le logiciel pour que ce nouveau monde « écologico et économico-compatible » voie le jour.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir5 Commentaires
L'audace... et surtout une saine ré-organisation et reprise en main de l'immense foutoir actuel, dont l'inefficacité gaspille allègrement nos ressources.
Quoiqu'il en soit, l'avis de la Belgique doit satisfaire francophones ET flamands. Donc, si la Flandre met sur "pause", ce sera l'avis qui prévaudra.
Et si on passait aux choses sérieuses ? Aller travailler par exemple, au lieu de faire du blabla idéologique.
Je ne peux que soutenir explicitement les propos d'Alain Caufriez,: quand on est en pause, on ne travaille pas! Gheys est clairement un adepte inconditionnel du blabla idéologique. Pas celui qu'il fustige. Mais du blabla quand même.
L'un n'empêche pas l'autre. Mettre en pause surtout au niveau européen, c'est certainement pas travailler.