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«Je dirais même plus»: Quick et Flupke, le retour

Faut-il interdire les casseurs de manifester? Non peut-être!, dit le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne, qui a avancé une proposition de loi en ce sens. Fini les pitreries des Ketjes de Bruxelles chers à Hergé... Article réservé aux abonnés
Chroniqueur Temps de lecture: 2 min

                                 

Vous vous souvenez des exploits de Quick et Flupke ? Sous la plume alerte d’Hergé, les deux ketjes de Bruxelles, de sales moutards il faut l’avouer, multipliaient les actes de vandalisme. Des briques ou des ballons dans les vitres des voisins, des passants renversés par leur caisse à savon ou leur traîneau, de la peinture klachée sur les murs, des grosses femmes assommées ou écrasées. Sans parler des agressions physiques, particulièrement sur le flic de quartier, le pôvre agent n° 15, leur souffre-douleur.

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