En Turquie, le nationalisme a déjà gagné l’élection

Correspondante à Istanbul
Oubliés les images de cerisiers en fleurs et les cœurs avec les doigts. Kemal Kiliçdaroglu, qui tentera dimanche de défaire dans les urnes Recep Tayyip Erdogan au second tour de l’élection présidentielle turque, n’est plus le candidat rassembleur et rassurant de sa campagne du premier tour. Arrivé deuxième le 14 mai avec 44,9 % des voix, soit presque cinq points de moins que le président sortant, l’opposant a changé de cap. Ses thèmes de l’entre-deux-tours : le nationalisme et la xénophobie.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
La majorité des électeurs turcs détestent donc les autres nations. Les mensonges et la cupidité d'un côté ainsi que la crédulité et l'ignorance de l'autre conduisent par conséquent toujours le monde... Et les religions ne sont pas pour rien dans tout ça. C'est clair.
Les jeux sont faits , la dictature continue et pas d'Europe non plus.