Libération d’Olivier Vandecasteele : pourquoi l’Etat a changé de stratégie

Trois pages, quatre signatures. C’est à si peu que tient l’arrêté royal permettant la remise à l’Iran du diplomate espion Assaddollah Assadi, condamné en Belgique à 20 ans de prison pour terrorisme. Trois pages qui sont aussi synonymes de la libération d’Olivier Vandecasteele après 455 jours de détention. Trois pages qui font déjà grincer des dents.
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