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Libération d’Olivier Vandecasteele : pourquoi l’Etat a changé de stratégie

Face à la situation d’Olivier Vandecasteele, le gouvernement a fait le choix de ne pas utiliser le traité de transfèrement signé avec l’Iran. Un résultat salué, une méthode qui fait grincer des dents. Article réservé aux abonnés
Par Guillaume Derclaye et Bernard Demonty
Temps de lecture: 1 min

Trois pages, quatre signatures. C’est à si peu que tient l’arrêté royal permettant la remise à l’Iran du diplomate espion Assaddollah Assadi, condamné en Belgique à 20 ans de prison pour terrorisme. Trois pages qui sont aussi synonymes de la libération d’Olivier Vandecasteele après 455 jours de détention. Trois pages qui font déjà grincer des dents.

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