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Les 20 km, l’octogénaire et le prisonnier

Agnès Abramsen n’a peur de rien. Certainement pas de s’enquiller 20 kilomètres un dimanche, à 80 ans, pour sensibiliser l’opinion au sort de Patrick Hoffman, un prisonnier amérindien qu’elle a « rencontré » dans un rêve il y a 65 ans. Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Enquêtes Temps de lecture: 3 min

Il n’y aura peut-être plus beaucoup de monde ni de stands, certainement plus de musique quand elle franchira la ligne d’arrivée. Si elle y arrive. Mais Agnès Abramsen est bien décidée à prendre le départ des 20 km de Bruxelles, ce dimanche, peu importent ses 80 ans. Pas qu’elle soit une fanatique de la course, non. C’est juste… une étape improbable de plus d’une vie déterminée par un rêve qu’elle a fait voilà 65 ans.

La Néerlandaise avait 15 ans quand les rêves ont commencé, des rêves récurrents. « J’étais mariée avec un Indien, le fils d’un chef. Et puis j’ai vu qu’il était parti faire la guerre avec les autres. Il n’est jamais revenu. » Les rêves ont eu beau s’arrêter, ils lui ont laissé une conviction tenace : elle devait trouver son Indien.

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