Des rires, des larmes et la fin du calvaire pour Olivier Vandecasteele (photos et vidéos)

Pendant 455 jours, ils ont attendu ce moment. Serrer Olivier dans leurs bras. Alors en attendant aux bords du tarmac, les proches de l’ex-otage belge en Iran débordaient d’impatience. Ça sautillait, ça riait, incapables d’attendre les dernières minutes après quinze mois de patience douloureuse. Jusqu’à l’atterrissage de l’immense avion militaire belge, venu d’Oman pour rendre Olivier Vandecasteele aux siens. Serrés comme des sardines, d’un bloc, ils se sont avancés devant la porte ouverte, chantant « Olivier, Olivier », tapant dans les mains en voyant la silhouette de leur si cher.

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