Pascal Chardome (CGSP):«Le fédéral est méprisant»
Pascal Chardome passe la main après huit ans à la tête de la CGSP-enseignement. Son regard sur la suédoise, le PS ou cette Communauté sans le sou.


Comme annoncé dans ces colonnes le 30 avril dernier, Pascal Chardome quittera le 1er septembre prochain ses fonctions de président de la CGSP-enseignement – le Namurois Joseph Thonon lui succédera. Dernier entretien avec celui qui a présidé le syndicat socialiste de l’enseignement pendant huit ans.
Vous quittez vos fonctions à un moment d’ébullition sociale. Quel regard portez-vous sur le gouvernement fédéral ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Concernant la Finlande, il faut faire la rectification suivante : ce n'est pas un numerus clausus pour limiter le nombre de candidats qui est mis en place mais un examen d'entrée très sélectif pour garantir la qualité du recrutement . C'est le seul moyen d'avoir un enseignement de qualité.
"On est sur la défense pas par principe, mais à cause du système". Disons plutôt parce qu'on veut plus d'argent. Combien de proposition y a-t-il eu de modifier les choses à budget égal ? Et ne venez pas me dire que ce n'est pas possible... Les nominations, qui font que des profs nommés se foutent de leur boulot et sont indéboulonnables ? Les "prioritaires", qui font que des directeurs sont obligés de lâcher les profs qu'ils apprécient pour d'autres qu'ils jugent inaptes ?
"...j'ai plus facie à faire valoir..." Avoir facile": faute grossière, surtout pour un enseignant. Et Le Soir laisse passer.