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Jean-Hugues Anglade: «Je n’ai plus ce besoin d’être aimé à tout prix»

L’acteur préside le jury du 8e Festival du film francophone d’Angoulême jusqu’à dimanche.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 6 min

L’attachée de presse nous avait passé le message : « Jean-Hugues Anglade ne veut plus s’exprimer sur l’épisode traumatisant de l’attaque du Thalys Amsterdam-Paris, l’affaire est close. » Président du jury du 8e Festival du film francophone d’Angoulême qui met également à l’honneur 37º2 le matin 30 ans après sa sortie, l’acteur a la main bandée (il s’est blessé en brisant la vitre du signal d’alarme du Thays attaqué). Mais on sent que la vraie blessure est plus intime, l’événement du vendredi 21 août ayant sans doute remis à vif d’autres violences personnelles, celle d’un viol à 13 ans, celle d’une agression en pleine nuit à Paris en 2005 qui le défigura. Au fil de la conversation, il nous dira simplement : « oui, je me sens un survivant, mais ne dites surtout pas que je suis un héros. » Et de se remettre dans sa position d’acteur.

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