JO 2016: excréments, ordures... bienvenue aux compétitions de voile (photos)
Quand les navigateurs olympiques s’affronteront dans la baie de Rio, les caméras montreront un paysage de rêve, avec des montagnes et des eaux tropicales scintillantes sous le soleil : heureusement, les millions de téléspectateurs ne sentiront pas l’odeur qui s’en dégage.

Plus de neuf millions de personnes vivent à Rio et dans les villes autour de la baie de Guanabara. Et seule la moitié des eaux usées sont traitées avant de se déverser dans le coeur aquatique de la ville.
Bizarrement, le fait de naviguer dans des latrines géantes qui, d’après des chercheurs brésiliens contiennent même des super bactéries résistantes aux antibiotiques, n’est pourtant pas la préoccupation majeure des athlètes.
Ce sont les grands objets flottants capables de freiner, voire d’endommager les bateaux, qui perturbent le rêve de médaille des «voileux».
«La pollution, c’est un vrai problème. On trouve de tout dans la baie et ça peut affecter nos résultats, nous freiner. En plus, ça peut être dangereux», explique à l’AFP l’Espagnol Santiago Lopez Vasquez, entraîneur du Nacra 17.

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