Attaque à Charleroi: «Khaled Babbouri n’a bénéficié d’aucun logement social»
A Farciennes, là où l’agresseur des deux policières carolos vivait, personne ne le connaissait. Il ne fréquentait pas non plus la mosquée locale. Barroubi semble être un fantôme. Reportage.

Le doute n’est pas possible. À l’entrée de la rue Ry de la Glacière, dans une cité sociale de Farciennes, la maison occupée par Khaled Babbouri est facilement réparable. Ciblée par deux perquisitions ces derniers jours, la porte d’entrée n’est plus qu’une planche de bois et les scellés apposés par la police barre les portes du garage et de l’entrée arrière. À l’intérieur, tout est sens dessus dessous. Dans le voisinage, c’est toujours l’incompréhension, voire la confusion. Personne ou presque ne connaissait l’auteur de la double agression à la machette contre les policières de Charleroi. Pas plus d’ailleurs que son frère, propriétaire de la maison depuis 2011.

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