L’archive du jour : 11 août 2014
Robin Williams s’en va sur une grimace tragique.

Il portait un prénom fleurant bon la forêt de Sherwood. Souffrait du plus beau des syndromes – celui de Peter Pan. Avait l’apparence, animée par Disney, d’un «génie» jailli des mille et une nuits. Semblait vivre dans un mystérieux cercle, capitaine entouré de poètes disparus – Walt Whitman, Shakespeare, Thoreau, Shelley...
Dans la nuit de lundi à mardi, on a appris que Robin Williams a définitivement rejoint le cercle de ces glorieux amis. En trouvant refuge dans le cocon qu’il préférait: celui des rêves. L’acteur américain, qui traversait une profonde dépression et s’était à de nombreuses reprises battu contre la drogue et l’alcool, avait 63 ans. Selon les premiers éléments de l’enquête, il se serait suicidé. Il a été retrouvé pendu avec une ceinture et avait un poignet entaillé. Sa mort brutale n’est pas dans rappeler celle de Philip Seymour Hoffman, victime il y a six mois d’une surdose d’héroïne.

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