Lorenzo Di Maio inaugure superbement le Gaume Jazz
Jacky Terrasson et Stéphane Belmondo en demi-teinte avec Majid Bekkas.
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C’est banal, évidemment, mais à Rossignol, dans le superbe écrin de verdure du Gaume Jazz, vendredi, on ne parlait que de ça : de la météo. Je vous avoue qu’après s’être gelé les os au Brussels Summer Festival en écoutant Hyphen Hyphen et Tindersticks sur la place des Palais jeudi soir, bénéficier d’un temps clément et, surtout, ne pas être douché, vendredi soir au Gaume, c’était une bénédiction.
Excellence musicale
Cette météo bienfaisante, qui s’accompagne de soleil, ce samedi matin, au moment où j’écris ces lignes, n’est cependant pas la seule bonne nouvelle de ce début de festival. La vraie bonne nouvelle, c’est l’excellence de la musique que nous ont offerte Lorenzo Di Maio et son groupe. J’avais déjà écouté le premier album du guitariste belge, Black Rainbow, qui sera dans les bacs des disquaires en septembre, mais sur scène, sa musique prend des dimensions exceptionnelles.

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