«Pour rien au monde je ne retournerais à Bagdad»
Devant l’Office des étrangers, quelques demandeurs d’asile racontent leur périple et pourquoi ils ont fui leur pays. Témoignages.

Les Irakiens arrivent en tête des demandeurs d’asile présents au parc Maximilien en face de l’Office des étrangers, à Bruxelles. Ils relatent unanimement le chaos causé par l’extrémisme religieux et la forte circulation d’armes dont profitent les réseaux de trafic d’humains. Rencontres avec ces hommes et ces femmes venus de l’autre côté des frontières.
Des kilomètres parcourus
« Pour tout vous dire, ma femme est coiffeuse pour dames. Un jour, elle a reçu des femmes vêtues de voile intégrale. Elles l’ont avertie que ce qu’elle faisait était illicite. Le maquillage permanent serait pêché. Quelques jours plus tard, on a mis le feu au salon pour non-conformité avec la Sharia », raconte un Irakien, la quarantaine, père de quatre enfants.

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