André Brasseur: «Je n’ai rien à perdre»
Impossible d’évoquer cette édition du « Pukkel » sans revenir sur la présence à l’affiche d’André Brasseur. D’abord parce que l’organiste et compositeur de Wépion compte désormais comme le doyen des artistes passés par Kiewit. Et ensuite, ses 40 minutes de concert, samedi, figurent parmi les plus chouettes prestations du festival.

Un concert dont on se souviendra pour la bonne humeur, la convivialité, le décalage, l’accueil du public… et le petit supplément d’émotion apporté par ces nouvelles versions de « Big fat », « The kid » et, bien sûr, « Early bird », le tube aux 6 millions d’exemplaires vendus dans le monde. Samedi, trois heures après sa sortie de scène, il n’en revenait toujours pas !

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