Accueil Culture Musiques

André Brasseur: «Je n’ai rien à perdre»

Impossible d’évoquer cette édition du « Pukkel » sans revenir sur la présence à l’affiche d’André Brasseur. D’abord parce que l’organiste et compositeur de Wépion compte désormais comme le doyen des artistes passés par Kiewit. Et ensuite, ses 40 minutes de concert, samedi, figurent parmi les plus chouettes prestations du festival.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 2 min

Un concert dont on se souviendra pour la bonne humeur, la convivialité, le décalage, l’accueil du public… et le petit supplément d’émotion apporté par ces nouvelles versions de « Big fat », « The kid » et, bien sûr, « Early bird », le tube aux 6 millions d’exemplaires vendus dans le monde. Samedi, trois heures après sa sortie de scène, il n’en revenait toujours pas !

Pour vous, tout a démarré avec cette compilation sortie il y a près de deux ans ?

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Musiques

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs