L’avis des experts: «Ces photos, je les aurais prises et publiées»
Diffuser des images brutales, choquant ? Peut-être, mais nécessaire.

Grandes famines en Afrique, séisme en Haïti, guerre du Vietnam… Autant de tragédies qui ont donné lieu à des photographies brutales que de grands médias ont fini par publier parce qu’ils estimaient qu’il en allait de leur devoir d’informer. Les clichés mis en lignes ces dernières heures par des quality papers britanniques – des cadavres d’enfants échoués sur le littoral turc – sont de cette veine-là : des photographies très dures que des médias ont fini par publier pour illustrer « des situations que les mots ne suffisent plus à décrire », comme l’explique François Heinderyckx, professeur de sociologie des médias à l’ULB.

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