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John Simenon, fils de Georges: «Je ne suis pas le gardien du temple»

Pas toujours facile de grandir à l’ombre d’un grand homme, de se faire un prénom quand son patronyme s’étale dans les gazettes. Mais heureusement, il est des « héritiers » qui se sont pleinement réalisés… John Simenon a été élevé dans une éthique de la liberté, qu’il tente de mettre en pratique dans la gestion de l’œuvre littéraire paternelle.

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Chef du service Forum Temps de lecture: 9 min

Georges Simenon, c’est d’abord un nom, imprimé en couverture de près de 400 ouvrages, traduits en 55 langues, vendus à 550 millions d’exemplaires, et adaptés près de 600 fois au cinéma et à la télévision. Face au romancier, d’une fécondité exceptionnelle, l’homme n’est pas en reste. Des moments fastes, quelques fanfaronnades – comme ses fameuses « 10.000 femmes » qui frappèrent les imaginations – mais des drames aussi, une relation ratée avec sa mère, des séparations pénibles et surtout le suicide de Marie-Jo, sa fille bien-aimée : épisodes dont il ne nous cache rien dans différents récits autobiographiques.

Comment vit-on, dans l’ombre et la lumière d’un tel homme ? Nous avons posé la question John Simenon, le deuxième des quatre enfants de l’écrivain, qui, depuis plus de 20 ans, assure la gestion du patrimoine littéraire paternel.

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