Japon: la crainte d’un bain de sang entre yakuzas
La précédente guerre des gangs avait fait une trentaine de morts. La pègre, dite à l’agonie, conserve néanmoins un réel pouvoir de nuisance

Plus de peur que de mal. La police japonaise était sur les dents, ce week-end, dans la hantise d’affrontements meurtriers entre clans mafieux rivaux. Il y a un an, en effet, le 27 août 2015, un schisme a fait exploser le Yamaguchi, le plus grand des 22 gangs recensés dans le pays. L’été dernier, près d’un tiers de ses affiliés ont claqué la porte ou ont été exclus, avant de former un gang rival. Depuis, les deux clans se livrent une guerre sans merci. Les autorités redoutaient que, ce week-end, ils formalisent l’anniversaire de leur rupture par un bain de sang. Mais les yakuzas sont restés terrés dans leurs QG, il est vrai très étroitement surveillés.

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