L’audace, la force et la faiblesse de Donald Trump
Le candidat républicain cherchait une image présidentiable en rencontrant « son » premier chef d’Etat étranger. Il tient un double discours.


Il fallait une bonne dose de culot, voire de réelle témérité, pour se rendre comme Donald Trump l’a fait au Mexique mercredi et y rencontrer un président Pena Nieto, après une année d’échanges acrimonieux, de noms d’oiseaux et d’imprécations. Malgré toutes les insultes à l’encontre des autorités mexicaines, le candidat républicain à la présidentielle acceptait de se jeter dans la gueule du loup. Malgré l’inquiétude de ses conseillers soucieux d’un énième dérapage non « scripté », il y voyait deux avantages : donner des assurances à l’électorat latino, hostile à près de 70 %, et se donner une image présidentiable en rencontrant «son» premier chef d’État étranger.

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