Relations euro-turques: Ankara retire sa menace de faire capoter l’accord sur les réfugiés
La Turquie refuse d’assouplir son sévère arsenal législatif « antiterroriste », qui mène à une répression jugée disproportionnée par les Européens. Le contentieux avec les Européens demeure. Mais le pays continuera d’appliquer l’accord conclu avec l’UE sur les réfugiés.


Il n’y aura pas eu de fumée blanche, samedi à Bratislava, sur l’épineux contentieux entre l’Union européenne et la Turquie à propos de leur arsenal de lois antiterroristes. Celles-ci sont jugées exagérément sévères par les Européens et prétexte à une « purge » sans merci des opposants au pouvoir. Mais « le travail se poursuit », « de façon constructive », « des deux côtés

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Quoiqu'il en soit des gesticulations turques le gouvernement de ce peuple est infréquentable Pour moi, jamais dans l'Union Européenne. Qu'ils respectent la minorité Kurde, présente bien avant eux dans l'Anatolie. Qu'ils règlent l'ignoble division de Chypre en en retirant les 50.000 Turcs qu'ils y on établi pour faire pencher artificiellement la proportion Grecs /Turcs de cet île qui est, à l'évidence, dans la sphère culturelle grecque.